Je porte plainte contre le gouvernement
pour harcèlement moral
Je porte plainte pour harcèlement moral contre le gouvernement Macron.
Ordres et contre-ordres, pressions et chantages, surveillance de nos faits et gestes. Ce que nous subissons depuis un an a un nom et correspond à un délit du code pénal : le harcèlement moral, puni par l’article 222-33-2-2.
Ma plainte a un objectif : renverser la charge de la culpabilité qu’ils font peser sur nos épaules.
En un an, E. Macron et son gouvernement auraient pu ouvrir des lits de réanimation et d’hospitalisation. Ils auraient pu planifier l’achat de masques, puis de tests. Permettre à la France de fabriquer elle-même des doses de vaccin comme d’autres pays l’ont fait. Au lieu d’assumer le fiasco de ses choix politiques, c’est sur les épaules des citoyens que le gouvernement choisit, à chaque fois, de faire reposer la culpabilité de la mauvaise gestion de la pandémie. Comme si c’étaient les citoyens qui géraient les stocks de masques, de tests et de vaccins.
Nous sommes tous et toutes victimes des manipulations psychologiques d’E. Macron et de son gouvernement. Ce procédé de harcèlement des citoyens de la part du gouvernement doit cesser. Ma plainte a un objectif : renverser la charge de la culpabilité qu’ils font peser sur nos épaules. J’invite l’ensemble des citoyen·nes à faire de même, et à s’affranchir du harcèlement moral qu’ils subissent depuis un an.
Article 222-33-2-2 du Code pénal : « Le fait de harceler une personne par des propos ou comportements répétés ayant pour objet ou pour effet une dégradation de ses conditions de vie se traduisant par une altération de sa santé physique ou mentale est puni d’un an d’emprisonnement et de 15 000 € d’amende lorsque ces faits ont causé une incapacité totale de travail inférieure ou égale à huit jours ou n’ont entraîné aucune incapacité de travail. »